Pierre Jamet est né en 1910 dans l’Aisne, il avait une double vocation : photographe dès le plus jeune âge et chanteur. Homme du doute, rempli de modestie et d’humilité vis à vis de sa production photographique, Pierre Jamet n’a pas cherché, de son vivant, à la faire connaître au-delà d’un cercle familial et amical.
Tout au long de son parcours éclectique, au fil de ses déplacements, de ses rencontres, de ses amitiés, souvent mêlé aux événements politiques marquants du XXème siècle, Pierre Jamet a photographié en toute liberté pour « prolonger l’éphémère et sauver l’instant ». Les lieux, mais le plus souvent les hommes, sur lesquels il a toujours porté un regard chaleureux et empathique. De ses photos se dégage une incontestable joie de vivre, même si elle est parfois voilée d’une poétique nostalgie.
C’est en 1924, à Copenhague que Pierre Jamet, âgé de 14 ans, achète son premier appareil photo, un « ICA 6x6 ». Dès les années 30, il s’équipe d’un Rolleiflex, d’un matériel portatif d’éclairage et gagne sa vie en réalisant des reportages pour le magazine « Regards » qui emploie à l’époque Capa, Chim et Cartier-Bresson.
Proche de Doisneau et de Willy Ronis, il occupe une place particulière dans la photographie humaniste et exprime dans ses photos le bonheur des étés au bord de la mer, la beauté de la femme, l’enthousiasme de la jeunesse sous le Front Populaire, la Libération de Paris ainsi que les années dorées de l’après-guerre... Les photographies de Pierre Jamet ont un caractère universel. Elles ont la clarté et la fraîcheur de l’espoir des années d’avant-guerre, puis de la paix retrouvée.
Tout au long de son parcours éclectique, au fil de ses déplacements, de ses rencontres, de ses amitiés, souvent mêlé aux événements politiques marquants du XXème siècle, Pierre Jamet a photographié en toute liberté pour « prolonger l’éphémère et sauver l’instant ». Les lieux, mais le plus souvent les hommes, sur lesquels il a toujours porté un regard chaleureux et empathique. De ses photos se dégage une incontestable joie de vivre, même si elle est parfois voilée d’une poétique nostalgie.
C’est en 1924, à Copenhague que Pierre Jamet, âgé de 14 ans, achète son premier appareil photo, un « ICA 6x6 ». Dès les années 30, il s’équipe d’un Rolleiflex, d’un matériel portatif d’éclairage et gagne sa vie en réalisant des reportages pour le magazine « Regards » qui emploie à l’époque Capa, Chim et Cartier-Bresson.
Proche de Doisneau et de Willy Ronis, il occupe une place particulière dans la photographie humaniste et exprime dans ses photos le bonheur des étés au bord de la mer, la beauté de la femme, l’enthousiasme de la jeunesse sous le Front Populaire, la Libération de Paris ainsi que les années dorées de l’après-guerre... Les photographies de Pierre Jamet ont un caractère universel. Elles ont la clarté et la fraîcheur de l’espoir des années d’avant-guerre, puis de la paix retrouvée.