La Vacquerie (34)
Ahmed Djelilate est autodidacte : il peint et expose depuis 1985, principalement dans sa ville de Lodève mais aussi à Montpellier, Sète … Il anime des ateliers de peinture pour les enfants des écoles et les jeunes à qui il souhaite transmettre le feu sacré de la création. Il est attiré par les couleurs vives, les formes simples, souvent géométriques … celles d’Algérie, son pays d’origine ? L’on retrouve sur toutes ses toiles cet assemblage incroyable de matériaux, de formes et de couleurs rappelant qui des tapisseries, qui des fresques ou tout simplement des impressions chargées de couleurs et de sentiments imprégnés de ses racines. Ahmed y parle aussi de paix, d’indépendance, de fraternité, d’amour.
Aline Moreau s’est destinée à l’art en entrant à l’école Martenot à Paris, puis à la faculté d’Arts Plastiques de Saint-Etienne. Elle anime des ateliers d’expression artistique auprès des personnes âgées : Aujourd’hui, outre ses photos couleur sépia, elle continue à peindre par « nécessité artistique » :
« c’est dur de vivre de sa peinture, mais c’est impossible de vivre sans ». Ses toiles révèlent un monde onirique inspiré de la mythologie où se mêlent douceur et angoisse, force et délicatesse, un monde étrange et merveilleux...
Nicolas Morales est venu d’Equateur en France en 2001 pour étudier les arts plastiques à Montpellier. Ses 6 années d’études l’ont ouvert à la peinture moderne d’Occident dont on sent l’influence sur ses toiles : Mondrian, Pollock ... Il vit à Barcelone depuis 2007 où il expose. Sa maman, conservateur en archéologie en Equateur, l’emmenait avec elle pour reproduire les pièces rares qu’elle devait répertorier pour le grand artiste équatorien Guayasamin : Nicolas a alors révélé des talents de dessinateur et découvert le monde de la peinture et celui des Incas et autres peuples pré-colombiens. Le «baptême de l’art» ne l’a jamais quitté. Aujourd’hui il n’est pas une toile de Nicolas qui ne nous plonge vers ses origines :
couleurs et symboles dansent sous les ciels purs d’Amérique latine.
Sara Laborde s’est inscrite à la faculté d’arts plastiques de Montpellier en 2003 et a rajouté à son art de peintre celui de potière en passant un CAP à l’école d’Uzès. Le plaisir de peindre l’a habitée dès son enfance. Mais Sara n’a pas qu’une corde à son arc : elle a aussi la passion de l’écriture. Lors de ses travaux d’étudiante, elle aimait à donner des mots à ses peintures car pour elle, ses projets passaient d’abord par l’écriture. Elle a la peinture dans ses mots et met ses mots dans la peinture ; de sa sensibilité à fleur de peau sortent des oeuvres « quasi-graphiées » d’une extrême finesse.
Simone Harel-Jaminet dite Monette peint « pour son plaisir », dit-elle : pas d’école d’art, pas de projets professionnels mêlés à sa peinture mais un réel talent découvert lorsque sa maman lui a demandé un jour de lui faire un joli dessin pour la fête des mères. Depuis Monette n’arrête pas de produire toutes sortes d’oeuvres, du dessin à la toile, de la toile au crayon, pour elle, pour ses amis.
Aline Moreau s’est destinée à l’art en entrant à l’école Martenot à Paris, puis à la faculté d’Arts Plastiques de Saint-Etienne. Elle anime des ateliers d’expression artistique auprès des personnes âgées : Aujourd’hui, outre ses photos couleur sépia, elle continue à peindre par « nécessité artistique » :
« c’est dur de vivre de sa peinture, mais c’est impossible de vivre sans ». Ses toiles révèlent un monde onirique inspiré de la mythologie où se mêlent douceur et angoisse, force et délicatesse, un monde étrange et merveilleux...
Nicolas Morales est venu d’Equateur en France en 2001 pour étudier les arts plastiques à Montpellier. Ses 6 années d’études l’ont ouvert à la peinture moderne d’Occident dont on sent l’influence sur ses toiles : Mondrian, Pollock ... Il vit à Barcelone depuis 2007 où il expose. Sa maman, conservateur en archéologie en Equateur, l’emmenait avec elle pour reproduire les pièces rares qu’elle devait répertorier pour le grand artiste équatorien Guayasamin : Nicolas a alors révélé des talents de dessinateur et découvert le monde de la peinture et celui des Incas et autres peuples pré-colombiens. Le «baptême de l’art» ne l’a jamais quitté. Aujourd’hui il n’est pas une toile de Nicolas qui ne nous plonge vers ses origines :
couleurs et symboles dansent sous les ciels purs d’Amérique latine.
Sara Laborde s’est inscrite à la faculté d’arts plastiques de Montpellier en 2003 et a rajouté à son art de peintre celui de potière en passant un CAP à l’école d’Uzès. Le plaisir de peindre l’a habitée dès son enfance. Mais Sara n’a pas qu’une corde à son arc : elle a aussi la passion de l’écriture. Lors de ses travaux d’étudiante, elle aimait à donner des mots à ses peintures car pour elle, ses projets passaient d’abord par l’écriture. Elle a la peinture dans ses mots et met ses mots dans la peinture ; de sa sensibilité à fleur de peau sortent des oeuvres « quasi-graphiées » d’une extrême finesse.
Simone Harel-Jaminet dite Monette peint « pour son plaisir », dit-elle : pas d’école d’art, pas de projets professionnels mêlés à sa peinture mais un réel talent découvert lorsque sa maman lui a demandé un jour de lui faire un joli dessin pour la fête des mères. Depuis Monette n’arrête pas de produire toutes sortes d’oeuvres, du dessin à la toile, de la toile au crayon, pour elle, pour ses amis.