
Dès le 12 avril 2025, le musée national Fernand Léger présente le travail de l'artiste Karina Bisch : Karina Bisch, la tête dans le décor.
Cette exposition inédite consacrée à Karina Bisch propose une immersion dans un univers où le décoratif déploie toute sa force conceptuelle et spatiale.
Depuis près de 25 ans, l'artiste réinvestit les motifs modernistes, non pour les citer, mais pour les faire circuler et muter dans le contexte contemporain. Son travail, situé à l’intersection de l’art, de l’architecture et du design, interroge la forme en tant que structure dynamique capable de traverser les époques tout en renouvelant leur charge symbolique.
L'exposition présente un ensemble d'oeuvres variées - une série de peintures inédites de petits formats, une oeuvre monumentale, une tapisserie et des créations textiles - inscrit dans le cadre d'une peinture murale immersive, conçue spécifiquement pour les espaces muséographiques du musée.
Des oeuvres de Fernand Léger (dessins, tapisserie…) sélectionnées par Karina Bisch elle-même, ponctuent le parcours. Le lien avec Fernand Léger se construit autour de la puissance et de la plasticité des formes. Comme Léger, Bisch explore le potentiel du décoratif non seulement comme ornement, mais comme un langage autonome, capable de générer du sens et de remodeler l'espace.
Cette exposition n'est pas simplement une juxtaposition d’oeuvres, elle est un espace théorique où les formes, par leur circulation et leur réactivation, produisent un dialogue entre les différentes temporalités. Ici, le décoratif devient vecteur d’une pensée critique sur la manière dont les formes construisent notre perception du temps et de l'espace.
Cette exposition inédite consacrée à Karina Bisch propose une immersion dans un univers où le décoratif déploie toute sa force conceptuelle et spatiale.
Depuis près de 25 ans, l'artiste réinvestit les motifs modernistes, non pour les citer, mais pour les faire circuler et muter dans le contexte contemporain. Son travail, situé à l’intersection de l’art, de l’architecture et du design, interroge la forme en tant que structure dynamique capable de traverser les époques tout en renouvelant leur charge symbolique.
L'exposition présente un ensemble d'oeuvres variées - une série de peintures inédites de petits formats, une oeuvre monumentale, une tapisserie et des créations textiles - inscrit dans le cadre d'une peinture murale immersive, conçue spécifiquement pour les espaces muséographiques du musée.
Des oeuvres de Fernand Léger (dessins, tapisserie…) sélectionnées par Karina Bisch elle-même, ponctuent le parcours. Le lien avec Fernand Léger se construit autour de la puissance et de la plasticité des formes. Comme Léger, Bisch explore le potentiel du décoratif non seulement comme ornement, mais comme un langage autonome, capable de générer du sens et de remodeler l'espace.
Cette exposition n'est pas simplement une juxtaposition d’oeuvres, elle est un espace théorique où les formes, par leur circulation et leur réactivation, produisent un dialogue entre les différentes temporalités. Ici, le décoratif devient vecteur d’une pensée critique sur la manière dont les formes construisent notre perception du temps et de l'espace.