Siméon Colin confie : « Enfant, j’ai grandi sous la protection des marronniers devant la maison, des châtaigniers et des sapins là-haut dans la forêt. Aujourd’hui, je les dessine pour les voir. Je les regarde : ils sortent du passé. Je dessine des forêts pour y entrer à nouveau. Mes arbres sont toujours tendres et puissants. Je les vois, ils me regardent. » Mes Arbres préférés réunit des fusains, des dessins au crayon et à l’encre qui représentent des arbres.
Tout au long de sa carrière, Siméon Colin a manifesté beaucoup d’intérêt pour trois thèmes : la femme, le portrait et les arbres. Arbres dont il fait le portrait à un moment précis. Il faut connaître l’arbre personnellement pour le dessiner. Les arbres l’intéressent tout particulièrement aujourd’hui : l'artiste redécouvre, à travers le dessin, la nature ; cette redécouverte l’étonne et le séduit. Son intérêt porte tout particulièrement sur le cèdre tel celui du Jardin des Plantes, proche de son atelier.
Quelque 50 portraits d’arbres ou forêts à découvrir du 3 au 19 novembre 2016, à la Mairie du 5e arrondissement de Paris. Tous réalisés au cours de ces trois dernières années. Des formes fantastiques semblent récemment naître des branches de ses arbres tels des oiseaux prenant leur envol : le dessin et son imaginaire rendent ainsi ténue la frontière entre la faune et la flore.
Tout au long de sa carrière, Siméon Colin a manifesté beaucoup d’intérêt pour trois thèmes : la femme, le portrait et les arbres. Arbres dont il fait le portrait à un moment précis. Il faut connaître l’arbre personnellement pour le dessiner. Les arbres l’intéressent tout particulièrement aujourd’hui : l'artiste redécouvre, à travers le dessin, la nature ; cette redécouverte l’étonne et le séduit. Son intérêt porte tout particulièrement sur le cèdre tel celui du Jardin des Plantes, proche de son atelier.
Quelque 50 portraits d’arbres ou forêts à découvrir du 3 au 19 novembre 2016, à la Mairie du 5e arrondissement de Paris. Tous réalisés au cours de ces trois dernières années. Des formes fantastiques semblent récemment naître des branches de ses arbres tels des oiseaux prenant leur envol : le dessin et son imaginaire rendent ainsi ténue la frontière entre la faune et la flore.