Née en 1954 à Lyon, Athina RENAULT n'a jamais hésité à aller à contre courant, embrassant un emploi, longtemps réservé aux hommes, qu'elle a exercé avec beaucoup d'intérêt et de professionnalisme
La liberté de sa création artistique sera le pendant de la rigueur d’un métier qui demeure sa fierté.
Tout en travaillant, elle ne cesse de créer, réalisation d’un défilé de mode dont elle dessine les robes, choisit les tissus, réalisation en collaboration avec un ferronnier d'art de personnages lui permettant une première approche de la peinture sur métal, confection de bijoux en résine et grillage
Après avoir cessé son activité, elle s’installe en Languedoc-Roussillon où s'impose à elle un certain questionnement.
Qui de mon humilité ou de ma lucidité a décrété un jour que je ne savais pas peindre ?
Le bon sens, lui, a questionné : as-tu seulement essayé ?
Non, a répondu la franchise car je n'ai pas fait l'école des beaux-arts et doute d'avoir la technique requise pour m'exprimer sur une toile.
Tu ne me feras pas taire s'est exclamée la créativité, car comme l'a écrit Zola dans ses lettres de Paris : "il faut réaliser ce qui vit en soi".
Alors, affrontant peinture à l'huile, peinture à l'eau, acrylique, empruntant parfois à Courbet son couteau, elle s'est laissée guider par la gamme de ses émotions trouvant dans le travail de la résine la force d’une nouvelle inspiration
Et depuis, elle crée !
A t-elle une technique? Évidemment, la Sienne !
Elle s’inspire d’August Macke et de sa recherche de la couleur pure pour la création des siennes, dont elle garde jalousement le secret ; et de l’univers fantasque de Dali par l’apport d’autres matériaux
Voilà son parcours, celui d'une autodidacte humble et décomplexée qui livre ses œuvres aux regards bienveillants ou critiques, essayant sans cesse de se renouveler avec cette exaltation qui est l'essence même de sa peinture.
Pour visionner la galerie d'ATHINA, cliquez ICI
La liberté de sa création artistique sera le pendant de la rigueur d’un métier qui demeure sa fierté.
Tout en travaillant, elle ne cesse de créer, réalisation d’un défilé de mode dont elle dessine les robes, choisit les tissus, réalisation en collaboration avec un ferronnier d'art de personnages lui permettant une première approche de la peinture sur métal, confection de bijoux en résine et grillage
Après avoir cessé son activité, elle s’installe en Languedoc-Roussillon où s'impose à elle un certain questionnement.
Qui de mon humilité ou de ma lucidité a décrété un jour que je ne savais pas peindre ?
Le bon sens, lui, a questionné : as-tu seulement essayé ?
Non, a répondu la franchise car je n'ai pas fait l'école des beaux-arts et doute d'avoir la technique requise pour m'exprimer sur une toile.
Tu ne me feras pas taire s'est exclamée la créativité, car comme l'a écrit Zola dans ses lettres de Paris : "il faut réaliser ce qui vit en soi".
Alors, affrontant peinture à l'huile, peinture à l'eau, acrylique, empruntant parfois à Courbet son couteau, elle s'est laissée guider par la gamme de ses émotions trouvant dans le travail de la résine la force d’une nouvelle inspiration
Et depuis, elle crée !
A t-elle une technique? Évidemment, la Sienne !
Elle s’inspire d’August Macke et de sa recherche de la couleur pure pour la création des siennes, dont elle garde jalousement le secret ; et de l’univers fantasque de Dali par l’apport d’autres matériaux
Voilà son parcours, celui d'une autodidacte humble et décomplexée qui livre ses œuvres aux regards bienveillants ou critiques, essayant sans cesse de se renouveler avec cette exaltation qui est l'essence même de sa peinture.
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